Ici se trouvent les oeuvres, les textes, les poèmes et tout ce que vous voulez publier sur mon site !!!

Ca me fait plaisir de vous mettre en ligne et j'espère que vous aussi aurez de nombreux commentaires!

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Je mettrai ce que vous désirez, comme vous le voulez (mise en page, couleur, lien menant à votre propre site)  !
Aucun souci !

N'hésitez pas c'est un bonne occasion d'avoir un avis sur vos textes !


Les trois auteurs qui m'ont confié leurs textes pour le moment sont : MarieSylvaé n°1--n°2;
Ejiom Suel n°1--n°2;
Céline Duchamp n°1--n°2     
Eric Neirynck n°1--n°2
Cassy n°1--2
( CLIQUER SUR LE NUMERO POUR ACCEDER AU TEXTE )

Pour ne pas avoir trop de textes des mêmes personnes je vais, pour le moment, limiter le nombre de textes que je met en ligne à deux par personne (ne vous inquiétez pas je vais trouver une idée pour faire mieux).


Voici le premier texte d'une longue série j'espère, et je remercie tout particulièrement son auteur qui a accepté de me faire confiance !



                             Espoir de naitre

Certain soirs je m'interdit les mots...Ces mots qui font pleurer...
Pleurer,pour qui pour quoi...Quoi que je dise,qui peux comprendre...
Comprendre celle qui sourit pour cacher ce trop plein de tristesse...
Tristesse qui m'envahit quand je regarde ma vie...
Vie qui ne me ressemble pas vraiment...
" Vrai ment songe ..."
Songe inavouée...ment parce qu'elle ne vit pas sa vie...Vrai la femme qui Ose se libérer...
Libérer enfin ce cri que j'étouffe dans mes sanglots de verres...
Verres de cristal,fragile dans sa solitude,lacérer par ces non dits tranchant de vérités...
Vérité cruellement insupportable que ma vie puisse être vécue à mon image...
Image ternie par le regard de ceux qui abîme les rêves...
Rêves qu'ils s'interdisent...De peur de plus être ce qu'on attendait d'eux...
Eux ces briseurs,qui portent et bercent leurs peurs comme un enfant...
Enfant je croyais que les adultes savaient...Mais que m'ont ils appris ces grands
Grands sont mes espoirs de ne pas léguer votre désespoir...
Désespoir qui à travers les ères planent au dessus de moi...
Moi qui sous l'ombr'elle protège ma peau de vos rayons ultra " vie ô laid "
Laid'heure qui vous plonge dans un monde infiniment triste...
Triste...Oui je le suis ce soir...Seule dans ce lit froid,enchaînée à votre culpabilité...
Culpabilité dont je vais me défaire...Même si cela vous déplais...
Des plaies faites par vos maux...Que seul mes mots peuvent atténuer lentement...
Lentement je quitte votre vie,n'étant ni votre gardienne,ni prisonnière,je l'ai décidé...
Décider que moi seule le peux et le veux...
Voeux que j'exaucerai,renaitre à ma vie...Et n'être que celle qui à un jour a traversée la vôtre...

                                                                               
                                                                                MarieSylvaé


                                   

Voici un deuxième texte d'un autre auteur !! Génial , merci de me faire confiance encore une fois et n'hesitez pas à mettre de nombreux commentaires !

Merci, si, si !
Mais elle est où la vie là d’dans, mais elle est où la vie pour eux ?
15 ans, 20 ans, du whisky, un peu d’shit, le K2 (un p’tit R de famille) tu connais, c’est là qu’ils vont rêver...
Merci Bertrand, merci la vie... Les allemands pour papa, le sida pour le p’tit, merci!
Et nous les bienheureux, on a quoi ?
Des papas déconfits, des enfants tout pourris...
Et nous les enfoireux on a gâché la vie qu’nos papas pat’defruit avaient perdue pour nous...
Merci !

 
                                   mars 1995.

                                                                                                               Ejiom Suel


                                       

Et un troisième ! Pour la route ! Qu'en dites vous ? N'hésitez pas à donner un avis critique ! Laissez un commentaire.

La lettre d'amour

Mon cœur,

Te souviens-tu de notre escapade en Normandie ? De ce beau week-end ensoleillé dans cette somp­tueuse région ? De cette maison typique à colombages ? Moi, je ne pense qu'à ça. A cette mer bleue étincelante, ce soleil sans nuage et surtout ton doux et beau sourire. Ton visage d'ange me manque. Je me vois encore à tes côtés, achetant une glace, le sourire aux lèvres et me disant en moi-même que j'ai de la chance de te connaître. Nous nous promenions le long de la Seine, à Honfleur. Le so­leil couchant sur l'eau était magnifique. Sur le port, les bateaux tout neufs flottaient doucement et les mouettes criaient. Le spectacle était féerique, comme une carte postale.
 

Tu es et tu resteras toujours mon âme sœur. Je t'aime mon amour, tu me manques. Je me souviens encore de tes sublimes baisers, ils ont le pouvoir de me transporter au septième ciel ! Les mouve­ments frénétiques de tes lèvres « déboulent » comme une puissante avalanche et j'ai envie de te dire : « encore, encore ! Ne t'arrête pas » , car j'aime les sensations fortes et avec toi c'est l'extase ! Le temps s'arrête sur tes lèvres, je n'en aurai jamais assez.
 

Ton corps est brûlant comme la braise, dans tes bras, même en Alaska j'aurai chaud. Je frissonne à chaque fois que tu me touches pourtant. J'aime tes caresses, tes mains ondulant sur mon corps et ta peau si douce contre la mienne.
 

J'espère te revoir bientôt et revivre encore et encore de sublimes et chaleureuses nuits dans tes bras. Dès que je vois tes yeux, je fonds, je vois notre bel avenir ensemble. Mon amour, mon cœur, tu es mon passé, mon présent et mon futur. Je ne l'imagine pas sans toi. Quand tu me parles, je pourrais être n'importe où avec toi. Dans tes mots j'ai l'impression de me promener dans un bel ouvrage.
 

Ce week-end en Normandie avec toi était magnifique, magique, merveilleux, Cette région est pour moi, la plus belle de toutes, avec ces belles villes fleuries et ces maisons typiques. Mon amour pour toi est infini, j'aimerais te voir encore, te tenir dans mes bras et t'aimer tout simplement.

J'espère encore passer de superbes week-ends comme celui-ci, et toute la vie avec toi dans cette jo­lie région qu'est la Normandie.

 

A toi à jamais, je t'aime et je t'embrasse partout.

Ta chérie

Stéphanie

                                                                                                          Céline Duchamp


Voici le quatrème texte !  Moi j'aime pour reprendre une expression facebookienne :p

  
Je t'aime      

Tu n’y crois plus, moi non plus. Cela fait bien trop longtemps maintenant que je cherche à vraiment te séduire, à t’emmener dans les rêves que j’ai faits pour nous deux. Deux mois tout entiers consacrés à la recherche de notre bonheur, et toi ?
Oui toi, belle , douce, intelligente, sensuelle.. Oui toi la fille que j’ai eu le bonheur de croiser un samedi chez Pascal, as-tu un seul instant pensé à ce que ce moment passé ensemble avait fait sur moi ? D’accord, tu me diras que nous avions bu tous les deux plus que de raison et que l’ambiance moite de la soirée peut aussi être tenue pour responsable de la nuit qui a suivi. D’accord je t’ai draguée, pour ne pas dire collée pendant plus d’une heure pour qu’enfin tu acceptes de faire connaissance avec moi. C’est vrai aussi que tu m’as dit que je ne devais rien attendre, que tu n’étais pas libre et qu’en plus tu n’étais pas prête pour le grand amour. Mais je te rappelle que c’est toi qui m’as embrassé, c’est toi qui la première a posé ta main sur ma cuisse. Je crois aussi me souvenir que c’est toi qui as proposé de finir la nuit chez moi. Tu ne pouvais pas te douter que j’étais un romantique invétéré et que pour moi une minute suffisait pour m’attacher à toi…Je t’aime !

                                                                                          Eric Neirynck
  


Un cinquiéme texte, ou plutôt un poème. Lorsque les sentiments ne suffisent plus, laissons s'exprimer les mots ...


            Les regrets, la double peine…

 

Tu es toujours là…

Sans cesse dans mon cœur je t’aime,

Dans mes pensées je te parle,

Dans mes larmes tu me manques…

Chaque blessure longtemps ne dure…

Je n’y crois plus, le temps ne m’aidera pas…

Mon cœur ne s’en libérera…

Je ne comprends toujours pas,

Pourquoi tu n’es pas là…

Il ne peut y avoir eu de justice

Dans ce précipice sans équité et sans respect…

Aujourd’hui encore,

Nous sommes tous avec nos lèvres serrées sur des « pourquoi »

 

Je te sens… A mon volant je pose ma main sur ta jambe

Comme je le faisais,

Comme pour te protéger, te garder…

Comment cela peut-il passer sans te retrouver à mes côtés…

Le temps ne m’aidera pas,

Et la force en moi je ne l’ai pas…

La colère que tu n’as jamais eue, je n’ai pas pu…

Excuse-moi pour ce manque de courage,

Mais ce partage me manque tellement…

Cet héritage reste sur ton passage,

Mais je ne l’érige pas, je n’y arrive pas…

 

Tu n’as pas pu partir ainsi…

Si sagement et silencieusement,

Sans nous inquiéter, tu nous as tellement écartés…

Je te disais « appuis toi sur moi, et moi sur toi »…

Pourquoi n’as-tu pas voulu partager cela…

Nous étions-là…

J’aurai voulu comprendre, j’aurai du t’entendre,

Le seul rythme de ton souffle te trahissait,

Et je n’ai pas voulu l’écouter….

Osons-le, admettons-le,

Ta main fermée nous a aidés,

Mais quel regret… Quelle lâcheté

M’envahit et me punit aujourd’hui….

Ce n’était pas à toi de faire ta loi…

Nous aurions du être là…

 

Je ne t’ai jamais souhaité d’avoir de la colère mais je t’ai toujours admiré de ne jamais en avoir…

 

                                                                                  CASSY


Le deuxième texte tant attendu de MarieSylvaé !

Fautes d'inattention...


Je dois corriger mes fautes d'inattention...Me dit on...

Temps passé...
Temps présent...
Temps futur...

J'ai tant douté...
J'espère tant...
Je ne cesserai de rêver...

Est ce une faute de temps..?

Conjuguer les verbes imparfait...Aimer ou hair...
J'ai corrigé les Fautes des autres...

Aimer quelque soit le moment...Il n'y a pas de temps!!!
Hair...Désolé j'ai oublié ma leçon...

Jeu au singulier m'amuse...Parfois...Et me colle trop souvent à la peau...
Toutes ces personnes aux plurielles qui entrent dans la ronde des mots...

Quête d'un Je qui Tue cette Elle,que Nous avons oublié,pour Vous rassuré...
Ensemble ElleS étaient trop libre...
Pour n'être que la copie d'une élève disciplinée selon les règles...

A suivre...


 


Ejiom Suel a mis également un deuxième texte !

Essai, essaie, j’essaie, je sais!


Je sais que je voudrais te dire,
je sais que tu voudrais savoir,
je dis que tu saurais vouloir,
je veux que tu dirais...
Et merde, c’est pas facile !
Oxymore, coxhygrue, chiasme et englue en tout genre.
J’écris sans même me douter,
malgré moi je me joue les bourgeois,
Jourdain et monsieur Compagnie.
 
Crabes et vautours,
littereurs licenciés,
est-ce l’Être qui vous intéresse ?
Vauliteurs et crabanciers,
est-ce assez de sueur sur nos  sens qui vous disent nos dons et nos..
Encore un trou !
 
Lacune, lucarne de l’inculture!
J’en suis là et lasse de toute cette confiture qui s’étale sur vos fronts d’intellos rassasiés du sang de nos âmes d’écoliers.


                        
Et enfin le deuxième texte de Céline Duchamp pour compléter la super série de leurs oeuvres !


 Le Miroir de la vérité

 

Le jour où j’ai décidé de porter un chapeau à rubans pour assister au mariage d’une amie, je me suis plantée devant ma glace - vous savez une psychée à l’ancienne en bois de violette - et là, quand j’ai affûté mon regard, j’ai surtout vu mon chat posté à côté de mes jambes flageolantes. J’ai aussitôt eu envie de lui parler:


- Qu’en penses-tu minou, ce n’est pas trop ? Il n’est pas un peu trop grand mon chapeau?

- Mais non ! C’est juste un peu trop frou-frou, c’est tout. Et cette couleur ne te va pas au teint. Le ruban de ton couvre-chef est bien trop long, bientôt il couvrirait tout ton joli visage. Regarde un peu cette robe, tu crois vraiment qu’elle va avec ? Cette teinte n’est pas assortie ! Et en plus elle te grossit ! Tu aurais dû plus souvent me demander mon avis, et regarde toi bien dans cette glace, on voit que la mode n’est pas du tout ton passe-temps favori !


J’en étais encore à faire les yeux ronds et à me demander si je n’étais pas folle. Mon propre chat m’avait parlé, il avait dit mes quatre vérités que moi-même, je n’osais pas m’avouer.

L’air de ma chambre était trop lourd, j’ouvris la fenêtre et m’asseyai un moment sur mon lit. Je regardai silencieusement mon chat en train de marcher. Avec ses pattes de velours, il ne faisait plus aucun bruit, et alla dormir en boule dans son panier rouge juste à côté de mon lit


Mon inconscience me jouait des tours. Pourtant cela faisait presque huit ans que j’avais eu mon chat de compagnie, et voilà qu’aujourd’hui devant ce miroir, mon compagnon s’était mis à parler. Tout à coup, je me mis à regarder le miroir de haut en bas et me demandai s’il n’était pas trafiqué. Car deux jours plus tôt, mon amie Anne - qui vient aussi au mariage aujourd’hui - et moi-même étions allées à une brocante. Nous avions trouvé beaucoup de choses, des beaux bijoux anciens, une armoire dont le haut était sculpté à la main et cette psychée en bois de violette. Le vendeur me l’avait même vendue à prix cadeau et m’avait demandé si je la voulais vraiment car elle était unique en son genre. Mais elle « m’avait tapé dans l’oeil », donc je l’ai achetée.


Bref, toujours plantée devant ma glace, en la regardant de bas en haut et de gauche à droite, je me suis donc dit tout simplement que c’était sûrement ma conscience qui avait parlé, et je décidai de me changer.


J’enfilai ma robe rouge claquant après quelques secondes de réflexion - avec la veste blanche assortie. Je rangeai mon chapeau à rubans dans l’armoire et je détachai mes cheveux qui retombèrent sur mes épaules. J’eus juste le temps d’enfiler mes gants blancs et de prendre mon petit sac de la même couleur, les cloches de l’église se mirent à sonner.


Je ne le savais pas encore, mais désormais, le miroir lira dans mes pensées les plus profondes et me dira la vérité.

 

                                             

 






   Eric Neirynck m'a permis de publier un second texte, profitez-en ! Commentez

    Epousailles


Cela faisait maintenant plusieurs minutes que j’avais décidé de m’isoler sur le balcon de mon appartement pour prendre la mesure de ce qui m’arrivait. Je venais de passer une nuit formidable avec ma rencontre d’hier soir. Nous nous sommes rencontrés dans la petite crêperie bretonne « Le Korrigan » où depuis mon divorce et mon installation à Rennes je passe le plus clair de mon temps.
J’étais arrivé en Bretagne un peu par hasard, moi le Parisien de toujours, accablé par la pesanteur de ma vie. J’avais été attiré par la nature, les promenades, et le côté mélancolique de cette région, enfin c’est ce que je croyais. J’y étais venu souvent en vacances avec mes parents, à l’époque ça me faisait chier, le ciel et ses nuages, les soi-disant trésors celtiques, je m’en foutais, moi je voulais la Côte d'Azur et le soleil. Toutes les explications de mon père sur la beauté du temps qui passe et sur l’architecture typique me laissaient dubitatif. Je ne vous parle même pas des reconstitutions historiques et des personnages déguisés avec houppelande et coiffe comprise. Tout ça pour vous dire que la Bretagne ne m’avait pas marqué. Et pourtant, j’avais atterri ici, loin des larmes et de la déception, mais surtout loin des autres et de leur putain de condescendance. Les premiers jours avaient été pénibles, le temps était tellement mauvais que j’étais resté enfermé comme un lion en cage dans mon 40 mètres carré. J’avais alors tout le temps pour repenser à mes parents qui trouvaient cette région et ses paysages tellement jolis, alors que ce ciel et ces vagues sont tellement tristes.
Et puis hier, enfin, une éclaircie, et… Cela va vous paraître bizarre, mais j’ai directement été attiré par la couverture de son livre « Épousailles en Pays breton », histoire de paysan, de cirque, de labyrinthe et de plaisir simple, mais surtout par son côté réservé. Très vite nous avons fait connaissance, nous nous sommes découvert des passions communes. Nous avons passé la soirée à parler littérature, musique, cinéma et gastronomie. Nous avons terminé la nuit chez moi dans ma chambre. J’ai aimé sa tendresse, sa douceur, sa chaleur, ses caresses. Nous étions tous les deux perdus, mais l’envie d’être ensemble était la plus forte dans ce qui était un total imprévu. Tout doucement j’ai été initié à un nouveau plaisir. J’ai aimé son corps, il a aimé le mien, j’ai aimé ce moment. À quarante ans pour la première fois de ma vie, j’ai aimé un homme et j’étais bien. Voilà ce qui fait que ce matin je suis un homme nouveau, un homme plein de doutes, mais un homme heureux!

 



Le second texte de Cassy, un texte qui fait rêver !


Lorsqu’un homme réalise une femme,

 

 

            Nous sommes toutes deux des personnes instinctives, impulsives pour les noirs ou les plaisirs de la vie et pour la première fois depuis que nous nous connaissons nous arrivons à préserver nos pensées, nos mots et ce dans le seul but de protéger l’autre… Je parle pour moi, mais je ne pense pas me tromper sur toi non plus… En faisant ainsi nous nous protéger aussi, mais comme depuis le début, notre priorité c’est celle de « faire attention à toi », c’est celle de « t’occuper de moi » … Parfois, souvent, nous avons faillit à cela mais aujourd’hui parce que nous savons que plus rien ne borde notre route, nous respectons plus que jamais cette phrase. Mais ma personnalité me rattrape, j’ai besoin de t’écrire, à défaut de te dire… J’ai besoin de poser des mots sur mes ressentis, ça a toujours été la seule façon que j’ai eu de comprendre… 

 

 

 

            Tu es une surprise… Chaque jour que je passe avec toi je te découvre davantage, tu me surprends sans cesse… Notre histoire a trouvé le moyen d’être si compliquée en si peu de temps, pour devenir aujourd’hui si simple… Et grâce à cela j’arrive enfin à apprécier presque sans retenue tout ce que tu es près à partager avec moi… Pour la première fois de ma vie, tu réunis beaucoup de plaisirs, d’envies, da facettes que j’ai souhaité retrouver dans un seul homme… Un souhait qui s’est construit au fur et à mesure de mes expériences…

 

 

 

            Tu es un incroyable confident et c’est la première fois où je peux conjuguer cela avec la personne avec qui je suis…  Je peux tout te dire, qu’il s’agisse de toi et moi, où seulement de moi… Tu m’écoutes, tu sais créer ces instants de confidences lorsque tu sais que j’ai besoin de te parler, même si ce n’est pas quelque chose que tu vas aimer entendre… Tu t’intéresses, tu m’observes, tu veux comprendre, tu veux bien faire… Tu as toujours été là pour moi… Même si parfois tu as l’impression de te sentir impuissant, en réalité tu ne l’as jamais été…

 

 

            Tu es un amant surprenant… Tu as d’abord été un si tendre doudou… C’est sans doute cela qui me permet d’affirmer que nos nuits je les aime, depuis le premier jour… Elles ont tellement été progressives… Au départ si sages… Aujourd’hui si passionnées… Tes mains sur mon corps m’ont toujours fait frémir, la différence à ce jour, c’est que je n’ai plus peur que mes sens se réveillent à tes demandes ou aux miennes… Je te donne tout ce que j’ai, sans avoir peur, sans me préserver, me retenir ou me protéger… Tes mains le savent bien… Elles qui ne veulent plus lâcher prise, elles qui viennent parcourir mon corps pour y déposer de douces caresses sans cesse, sur toute ces courbes qui s’offrent à toi… Mon souffle te guide sur ce petit corps si sensible, t’exprime ce qu’il ressent, te murmure ses désirs comme ses craintes… Il ne cesse de te parler même si depuis bien longtemps il ne contrôle déjà plus rien… Je suis à bout de mes forces, mes griffures prennent la parole, sur ton dos glissant, je m’accroche à toi comme pour te dire, ne t’arrête pas, laisse-moi juste reprendre mon souffle… Ma peau imprégnée d’émotion en frissons, je me laisse aller aux battements de nos cœurs… Nos corps nus encore tressés, engourdis de plaisir, fatigués mais repus, tremblants, yeux dans les yeux, tu t’es abandonné… Autant que je l’ai fait… Ton respect me surprendra toujours, ton regard ne cessera de me rassurer, ta sincérité ne sera remise en question et ta douceur ne me décevra pas… Je le sais… Ces instants-là me rappellent la beauté qui peut exister et le respect qui ne cesse de s’échanger, entre deux êtres qui se découvrent…  Je te découvre et je me découvre, je m’assume… J’ai besoin de ton amour, car c’est lui qui rend femme, c’est lui qui me permet de m’épanouir et d’avancer dans des moments où mon esprit ne me retient pas… C’est toi qui veille à combler mes faiblesses et mes erreurs, tu es celui sur lequel je peux m’appuyer, celui à qui je peux tout dévoiler sans honte et sans regret, celui à qui je peux tout demander…

Tu es celui qui me fait grandir, changer mes jugements, celui qui me fait lever mes aprioris et me fait découvrir le fossé qu’il y a entre « devoir » et « plaisir »... 

 

            Tu es un homme d’exception… J’admire ta patience, celle qui n’a jamais faillit devant mes maux… Cette douceur toujours aussi fidèle dans tes gestes, tes regards, tes paroles… Cette intention de toujours vouloir prendre soin de moi… Qu’il s’agisse de me protéger contre moi-même, contre mon passé ou contre l’inconnu…  J’attends ce jour, où toi aussi tu chercheras ma main pour traverser la chaussée, peut-être est-ce à ce moment-là, que tu comprendras davantage, à quel point ta présence à mes côtés est si précieuse. Prends conscience de ce que ta présence est capable d’apporter aux personnes qui te sont chères.

Merci pour toute cette confiance et cette volonté d’être compréhensif de tout… Tu me calmes, me tempères, me tends sans cesse la main, sans jamais rien reprendre… A travers ton regard, ta présence, je me sens belle et réapprend à être confiante… Je redécouvre à quel point l’estime de soi est si fragile et dépend du regard de l’être assit en face de soi, dépend de l’être aimé… Je sens en toi une force et une assurance qui m’ont toujours manqué… Tu as su si bien ressentir ce besoin d’attention que je n’osais franchement te demander, cette douceur d’un homme qui me manquait et qui lorsque tu me l’offres, me fait devenir à la fois femme et enfant… Une femme comblée, remplie d’assurance, d’ambition et une enfant qui se sent entourée, protégée du regard des autres, sachant apprécier chaque instant… J’ai l’impression que chacun apporte l’exactitude de ce qui lui manque…

 

                                    Je réalise tout ce que tu as fait pour moi…

                                    Je réalise tout ce que tu es pour moi…

 

                                                                                              Merci…

 

 

 

 


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